L'on m'a baptisé Adriel Liam Leland. Actuellement, j'ai 25 ans. Je suis hétérosexuel. La journée, je fais mon travail de soit ancien joueur star d'une équipe de -sport de votre choix-reconverti en ce que vous voulez, soit c'est toujous le joueur star et la nuit, je suis charmeur, insolent, fidèle, compréhensif, possessif, impulsif et caractériel.
Je fais parti du groupe au choix.

Pour m'interpréter je vous propose l' avatar suivant : Jamie Dornan.
En ce moment, je suis Libre.

OVER THE RAINBOW
L'histoire est complètement libre, à part qu'il est -ou a été- un joueur renommé dans une grande équipe sportive.
Sinon, je tiens juste à ce que le lien soit respecté.

UNDER THE SUN

Je t'aime Sun' !

Elle jeta un coup d'oeil incrédule au jeune homme, souhaitant plus que tout que ce ne soit qu'une plaisanterie.

Allons, tu n'es pas sérieux. Toi et moi, c'est juste pour le fun !

Il la regarda avec colère, lui attrapant le poignent avant qu'elle n'ait pu passer la porte.

Je suis tout à fait sérieux !

Sunshine avait pris la fuite, n'arrivant pas à gérer les sentiments du jeune homme, et les siens par la même occasion. Elle avait été séduite, trouvant en lui quelqu'un qui avait autant de caractère qu'elle et qui ne se lassait jamais de ses nombreux caprices. Mais, n'ayant jamais été aussi attaché à quelqu'un, elle n'avait pas voulu rester, ne souhaitant pas attendre le moment où il se lasserait d'elle.
Pourtant, parfois elle craque et retourne dans ses bras, fuyant dès qu'ils parlent qu'il parle d'amour. Ainsi, bien décidé à lui prouver qu'elle ne peut se passer de lui, il flirt sous son nez, prêt à tout pour la rendre folle de jalousie comme lui l'est de la voir avec tous ces gens différents. Et bien qu'il pense parfois que cela ne lui fait, elle a de plus ne plus de mal à le supporter. Ainsi, dès qu'ils se voient, ils se disputent et finissent toujours par régler leur différents sous la couette.
Va t-il finir par se lasser d'être le seul à faire des efforts ou va t-elle réaliser qu'il est l'homme de ses rêves ?!

La rencontre

Je descendais les marches qui me menaient sur la pelouse du stade, tous les regards se tournèrent vers moi.
Mince, c'était moi le patron, mais j'étais tout de même obligée de me déplacer. Si le contrat n'avait pas été particulièrement alléchant, nul doute que j'aurais envoyé mon -très- probable client allait voir ailleurs.
Arrivée à la hauteur des joueurs, je m’adressai à l’entraineur : « Sunshine Harper, future attachée de presse de votre épique. J’aurais voulu pouvoir discuter avec votre patron et vos joueurs. C’est possible ? ». Le vieux coach hocha la tête. « Hum… pourquoi pas. Rejoignez-nous dans les vestiaires, d’ici dix minutes. Allez les gars, on y va. ». J’attendis exactement dix minutes devant la porte des vestiaires puis exaspéré d'attendre j'entrais sans autre forme de cérémonie. Je me retrouvai alors nez-à-nez avec un des joueurs nu comme un vers. Loin d'être gênée, j'avais laissé mon regard appréciateur glissé sur le jeune homme, ne pouvant que constater à quel point il était séduisant.
N'ayant aucune gêne, ni honte face à la situation, j'avais laissé la porte se fermait derrière moi. Je faisais le tour du vestiaire pendant qu'il s'habillait, observant les photos qui trônaient sur les murs. C'est là que je compris qui il était. Il était le capitaine de l'épique, celui dont on m'avait rabâché le nom de par ses trop nombreuses victoires. Qui pouvais-je si le sport ne m'avait jamais intéressée plus que cela ? Pas assez cérébral pour moi ! Enfin, j'étais prête à revoir mes positions, si c'est lui qui me servait à rattraper mes lacunes.

Lui jetant un coup d'œil, je vis qu'il s'était enfin rhabillé - à mon damne- et en profitait donc pour m'asseoir face à lui. « Bien. Donc hum. Adriel… ». Je cherchais le dossier que j'avais préparé, voulant lui poser une ou deux questions avant de rencontrer mon futur client. « Arrêtez de me regarder comme ça. ». Je relevais la tête et le fixais d’un air interrogateur. « Et comment est-ce que je vous regarde ? ». Il sourit d’un air taquin. « Comme si vous m’aviez vu nu. ». Je ne pus m’empêcher de rire, amusé de constater qu'il ne se laissait pas facilement démonter.
Prenant mon air le plus innocent, je répliquais à mon tour. « Je suis désolé, mais le coach avait dit dix minutes et cela faisait dix minutes. Je suis donc rentrée… ». Il me répondit par un sourire innocent en tout point identique au mien, et je suis à cet instant que cette rencontre ce finirait de façon fort intéressante. Adriel sourit encore plus grandement en voyant mon air interrogateur et, au moment où il prononça cette phrase, je sus qu’il allait marquer ma vie. « Et bien, je crois que c’est à mon tour de vous voir nue, Mademoiselle Harper. ».